1. Problème de la sensibilité dentaire
Grammaire. Lors de. Bien que, quel que + subjonctif présent. Conditionnel
présent.
Lisez et traduisez ce texte. S'il est nécessaire, consultez le dictionnaire. Dites, laquelle des trois théories principales explique le mieux le problème de la sensibilité dentaire et pourquoi.
Pour bien comprendre ce texte tâchez de donner à ces mots leurs équivalents russes. Vous pouvez les traduire sans consulter le dictionnaire:
cliniquement, mécanisme, identifier, nerf [πεΓ], nerveuse, auteur, théorie, hydro-dynamique, chef, communication, déformation, transmission, récepteur, application, enregistrer, activité, choc [fok], évacuation, intéressant, signaler [-η-], microscope, intervention, optique, visualisation, contact [-akt], réalité.
Bien que la douleur dentaire soit un fait cliniquement bien établi, le mécanisme de cette douleur est fort mal compris*. Dès 1835 Rachkow a pu identifier des nerfs dans la pulpe et Tomes, en 1856, pense que le prolongement odontoblastique, ou fibre de Tomes, est une fibre nerveuse. Depuis de plus de cent ans, la présence de nerfs dans la dentine a tour à tour* été défendue et niée par de nombreux auteurs.
La sensibilité dentinaire est un fait d'expériences courantes*, vérifié quotidiennement en clinique. Trois théories principales tentent de l'expliquer. D'après la théorie hydro-dynamique, dont le chef de file* est Brannstrom, les canalicules dentinaires servent de communication vers la pulpe. Sous l'influence de changements de pressions mécaniques, thermiques ou chimiques, le mouvement de déformation des tissus provoque une transmission hydro-dynamique de la douleur vers le récepteur pulpaire. Le déplacement de la cellule odontoblastique et de son prolongement est susceptible de provoquer une douleur. Cette théorie hydro-dynamique est basée sur l'absence de nerfs dans la dentine.